My, my, time flies
Eh oui, presque deux mois de silence radio absolu. Mais où était-elle passée, la Maijo?
C'est très simple, je vais vous le dire. Dans notre petite maison qui n'est pas dans la prairie, Maijo fait la pain, Maijo fait le yaourt, Maijo fait lae fromage blanc, Maijo donne ses cours, Maijo s'occupe de la bibliothèque des expatriés et du concours photo sur les transports (en commun avec d'autres expats, mais quand même), et, bien sûr, Maijo s'occupe de sa tribu. Et pour pimenter la sauce, le 19 mars m'est tombé comme une chape de plomb sur le moral, coinçant sous son poids environ quatre semaines où Maijo a plus ou moins fait l'autruche; il y avait des jours où elle ne regardait même pas sa messagerie, alors y répondre...
Le pire dans tout ça, c'est que je m'étais engagée pour plusieurs lectures communes. Et que je suis presque à jour dans les livres lus! Mais alors il va falloir être un petit peu patientes pour voir les billets arriver: même si je fais de mon mieux, je ne vais pas pouvoir vous mettre plus d'un billet par jour. J'en suis plus que désolée et présente mes plus plates excuses à toutes celles qui ont publié leurs billets à temps.
Mais il n'y a pas que des mauvaises nouvelles dans le quotidien des Maijo. Tout d'abord, je vous dois toujours les photos de la Thaïlande. Un pays magnifique et accueillant où nous avons passé quelques jours les yeux grands ouverts. Et puis nous venons de rentrer de Pékin, les pieds endoloris après tous ces kilomètres parcourus, mais la tête pleine de souvenirs magnifiques. Et encore, des souvenirs plein nos sacs...
Pour vous donner un avant-goût, un petit montage photos sur la Muraille de Chine...
PS: le titre du billet est celui d'une chanson d'Enya que j'apprécie énormément.